Par Le Poignard L’affaire Bope Une Enquete De Liza Baxter par Stephen Baxter, H.G. Wells
La Guerre des Mondes suivi du Massacre de l’humanité
par Stephen Baxter, H.G. Wells
Un grand chef-d’œuvre et sa suite, réunis dans un seul volume :
LA GUERRE DES MONDES de H.G. Wells
Le récit culte de l’invasion de la Terre par les Martiens, émergeant de leurs cylindres pour se lancer à l’assaut de la capitale de l’Empire britannique, en conduisant des monstrueux engins de combat – les célèbres « tripodes » – et en balayant toute résistance humaine avec des armes terrifiantes : le Rayon Ardent et la Fumée Noire.
La Guerre des Mondes fait partie des œuvres fondatrices de la science-fiction comme genre littéraire, et a été maintes fois adaptée au cinéma et aux autres médias. Le roman originel de Wells a gardé toute son actualité et sa lisibilité grâce à ses thématiques – possibilité de la vie extraterrestre, théorie évolutionnaire, avènement de la « guerre totale », fragilité de la civilisation moderne et de l’écologie planétaire – et à son style « reportage », direct et viscéral dans son réalisme.
LE MASSACRE DE L’HUMANITÉ de Stephen Baxter
Cela fait treize ans, depuis l’invasion martienne de l’Angleterre. Le monde a poursuivi sa course, guettant le ciel d’un œil méfiant, mais rassuré de savoir que les moyens existent pour contrer la menace des Martiens. L’équipement pillé des cylindres et des machines de guerre abandonnés par l’ennemi ont permis un grand bond en avant sur le plan technologique. Et les Martiens sont vulnérables aux microbes terrestres. Les militaires sont prêts à toute éventualité.
Quand les premiers signes annonciateurs des lancements sur la planète rouge sont aperçus, il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter. Sauf si vous aviez bien écouté les avertissements d’un homme : Walter Jenkins, le narrateur du livre de H.G. Wells. Jenkins est convaincu que les Martiens ont compris les causes de leur défaite et ont par conséquent adapté leurs méthodes.
Il avait raison.
Prise au milieu d’une seconde invasion, Julie Elphinstone – journaliste, rescapée de la Première Guerre contre les Martiens et belle-sœur de Jenkins – doit aller au cœur des zones de combat, puis s’en sortir pour transmettre son rapport sur ce nouveau conflit, coûte que coûte. Mais Jenkins et l’armée ont d’autres missions en tête pour Julie.
Car le massacre de l’humanité a commencé.
« Je ne peux citer un autre écrivain de nos jours qui mériterait plus que Baxter le titre d’héritier officiel de H.G. Wells. » Adam Roberts (The Guardian)
« Les admirateurs de H.G. Wells trouveront leur bonheur avec cet hommage. » The Daily Telegraph
« Stephen Baxter, une étoile brillante…
Au propre et au figuré
par Jacques Attali
A certaines époques, il a trouvé à ces questions des réponses naturelles, cohérentes, rassurantes. Puis le doute s’est réinstallé, les certitudes ont vacillé, les interrogations ont resurgi, des convictions se sont opposées, des ordres se sont dissous.
Ainsi en est-il de la propriété. De tout temps, on s’est demandé quelle était la meilleure façon de l’organiser, la plus juste, la plus libre. On a cru parfois le savoir. D’aucuns ont soutenu que l’homme évoluait, au rythme d’un progrès irréversible, de la propriété communautaire à la propriété individuelle. D’autres ont affirmé que l’évolution et les luttes allaient exactement en sens contraire. D’autres enfin ont rêvé d’une société sans propriété, ni privée, ni collective.
Il m’a semblé découvrir qu’il y avait, derrière chacune des conceptions de la propriété qui se sont succédé et entrechoquées depuis des millénaires, comme un signal toujours présent, comme une obsession incontournable que je résumerai ainsi: ce que cache la propriété, c’est la peur de la mort.
J.A.
Le voleur d’orchidées
par Susan Orlean
En 1994, John Laroche et trois Indiens séminoles comparaissent devant un tribunal de Floride pour répondre de l’accusation d’un vol d’orchidées d’une espèce extrêmement rare et dont la valeur marchande est inestimable. Ce fait divers, pour le moins original, est au coeur de l’enquête de Susan Orlean : brillante journaliste et écrivain, le New Yorker l’envoie pour couvrir le procès.
Elle s’embarque finalement pendant près d’un an aux côtés des suspects, dans les marais du Fakahatchee, à la recherche de l’orchidée fantôme. Admirable galerie de portraits de botanistes un tant soit peu obsessionnels, l’enquête nous plonge dans l’univers rocambolesque des collectionneurs d’orchidées. Une histoire unique et truculente, où les passions, enivrantes, peuvent se révéler dangereuses.
Benedictus
par Dom Gérard,
